IRAN - OVNIS ENTRE 2008 et 2010
IRAN - OVNIS ENTRE 2008 et 2010
Sources: Daily Star, le 3 octobre 2019
1. Des
OVNIS en Iran, Partie II
2. L’aviation iranienne a mené une étude approfondie sur les OVNIS ayant survolé les centres de recherches et les sites nucléaires iraniens entre 2008 et 2010. 3. L’armée iranienne n’a pas réussi à abattre un OVNI.
Notre billet sur le rapport sur les ovnis de l’institut des études stratégiques des forces aériennes iraniennes a suscité des réactions positives. Il a surtout encouragé des pilotes de chasse de plusieurs pays à nous rendre destinataires de fragments de rapports non encore déclassifiés traitant du même sujet et il semble qu’un nombre assez important de pilotes civils et militaires de divers pays du monde aient eu des expériences similaires en ce qui concerne ce domaine que la science officielle classe soit comme un sujet tabou ou comme une théorie fantaisiste ne reposant sur aucun élément probant et convaincant. Ce sujet est pourtant extrêmement important pour qu’il soit sorti d’une certaine catégorie et être traité comme un domaine d’investigation sérieux.
En attendant l’exploitation des rapports
qui nous ont été transmis, nous continuerons à évoquer les questions les plus
pertinentes évoquées par le rapport sur les objets volants non identifiés que
le centre d’études stratégiques des forces aériennes iraniennes a élaboré entre
les années 2008 et 2010. Ce rapport fut remis au secrétariat du Conseil suprême
des études théoriques des forces armées iraniennes, une instance peu connue et
très peu médiatisée en dehors de la République Islamique d’Iran.
Le rapport évoque à partir des 250-251
les anomalies électro-magnétiques accompagnant invariablement les rencontres
recensées par les pilotes de combat avec des objets volants non identifiés dans
l’espace aérien iranien. Certaines de ces anomalies entraînaient des
interruptions brutales des radars de la défense aérienne traquant les objets
intrus et plusieurs rapports officiels firent état d’interruption de l’ensemble
des réseaux de communication et de contrôle peu de temps après la détection
d’objets volants non identifiés au-dessus de l’Irak que les iraniens avaient
tendance à imputer aux capacités de guerre électroniques des forces US dans ce
pays.
De tels black-outs indépendants de la
volonté des opérateurs militaires survinrent à plusieurs reprises à la veille
et lors d’ opérations militaires de la coalition contre des objectifs situés en
Irak entre les années 2003 et 2007 avec un pic durant les années 2004 et 2005.
Cependant, le rapport estime que ce n’était pas la première que de tels
phénomènes étaient observés.
Plus intéressant encore était le fait
que les premières « apparitions de masse d’ovnis » jamais observés
par un très grand nombre de personnes eurent lieu après la Révolution islamique
en Iran (07 janvier 1978 – 11 février 1979) et lors de la terrible guerre
Iran-Irak (22 septembre 1980 – 20 août 1988).
La première apparition d’objets volants
non identifiés qui fit l’objet d’un très grand nombre de témoignages directs
émanant de civils, de militaires et de miliciens eut lieu lors de la prise
d’otages à l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique à Téhéran (04 novembre 1979 –
20 janvier 1981) et la frénésie que cela suscita au sein des forces armées
iraniennes joua probablement un rôle non négligeable dans l’échec de
l’opération militaire Eagle Claw (24 avril 1980) que les
Américains lancèrent pour secourir les 53 otages à leur Ambassade à Téhéran.
La seconde vague des apparitions eut
lieu juste avant le déclenchement de la guerre Iran-Irak, un conflit
particulièrement meurtrier qui dura huit années tandis que la troisième vague,
de loin la plus importante, eut lieu au-dessus de l’ensemble des provinces
iraniennes durant les années 2004 et 2005, coïncidant avec la recrudescence
spectaculaires des opérations militaires en Irak où les forces militaires
d’occupation US eurent à faire face à une solide insurrection sunnite
concentrés dans le triangle Baghdad-Tikrit-Salaheddine et Al-Anbar avec pour
épicentre la ville rebelle de Falloujah. Le premier assaut combiné des Marines
US sur Falloujah se solda d’ailleurs par un échec retentissant en Irak et il
aura fallu l’usage d’armes chimiques, spéciales et incendiaires pour en venir
symboliquement à bout dans un second assaut.
Le Haut commandement militaire iranien
accorda une très grande importance à ces phénomènes inexpliqués compte tenu de
l’absence de relations politiques, diplomatiques et militaires avec les
Etats-Unis d’Amérique. Ces phénomènes représentaient donc une menace très
sérieuse à l’égard des intérêts stratégiques iraniens. Le rapport détaille une
série d’incidents non expliqués et non élucidés ayant eu un caractère hautement
menaçant à travers l’Iran et résume les situations auxquelles durent faire face
des pilotes de combat ou des opérateurs radar au sol:
1. Disparition subite de la cible
2. Vélocité extrêmement élevée (variant de Mach 6 à Mach 12 et au delà!)
durant la traque ou l’interception aérienne
3. Une manœuvrabilité extraordinaire durant la poursuite quand l’OVNI
ralentit et accélère alternativement entre des vitesses comprises entre Mach
0.8 et Mach 10 avec des bifurcations hallucinantes à 90 degrés ou des vitesses
ascensionnelles défiant l’imagination
4. Présence d’une « masse » gazeuse et d’un halo lumineux
autour de l’OVNI
5. Disparition de l’OVNI lorsqu’il est ciblé par des missiles AA
(Air-Air) ou SAM (Surface-Air) avant sa réapparition subite
D’après ces rapports, la plupart des
OVNIS poursuivis par des chasseurs lorsque leur vitesse est comprise entre Mach
0.8 et Mach 1.9 disparaissent subitement quand ils sont verrouillés par le
radar de poursuite et d’acquisition du tir et cela explique le peu de fois où
des pilotes iraniens aient pu tirer des missiles AA sur des OVNIS après accord
de leur hiérarchie.
Un F-14 Tomcat des forces aériennes iraniennes
D’une manière assez surprenante, les
forces armées iraniennes ont tenté de développer des tactiques innovantes et
assez élaborées afin de « piéger » les objets volants non identifiés
mais ces derniers s’y sont adaptés à chaque fois en utilisant des stratagèmes
assez déconcertants pour l’esprit humain. Parmi les stratagèmes observés et
figurant sur le rapport, les experts iraniens iraniens ont retenu:
1. Une ascension subite ou une perte subite d’altitude à des vitesses
phénoménales. A plusieurs reprises des ovnis traqués et pourchassés ont
« grimpé » en quelques secondes d’une altitude de 4000 à 70 000
mètres lorsque des missiles SAM ont été tirés du sol. D’autres fois des OVNIS
traqués par des chasseurs Grumann F-14 Tomcat et F-5 iraniens ont plongé à plus
de Mach 5 de 6000 mètres d’altitude au …niveau du sol qu’ils longent avant de
décoller à la verticale vers la stratosphère en l’espace de quelques secondes!
2. Un désengagement à une très grande vitesse et suivant des angles et des
figures impossibles. En de nombreuses occasions précise le rapport, quand ils
sont approchés par des avions de combat, les OVNIS ne disparaissent pas mais
engagent des manœuvres évasives démentielles comme un changement subit de
direction à un angle impossible à une vitesse hypersonique ou, dans une
occurrence, s’arrêtant net après une vélocité hypersonique et attendant en
position statique le pilote engagé à près de Mach 2 et lorsque celui-ci fut
assez près d’ouvrir le feu, l’Ovni reprit sa course en bifurquant à 90 %. Le
pilote iranien tenta une ultime manœuvre et engagea la cible au canon M61A1
Vulcan de 20 mm à haute cadence de tir mais l’OVNI a commencé à s’amuser en
zigzaguant à très haute vitesse entre chaque obus avant de prendre la tangente
à une vitesse que le pilote évalua à Mach 10…!!
Et voici le clou du clou, décrit en page 252, quand le
rapport évoque noir sur blanc le troisième stratagème utilisé par les OVNIS:
3. Des Ovnis attaquant des avions de combat
intercepteurs et des avions civils.
Selon le rapport, il existerait des
dizaines de rapports secrets sur de nombreuses tentatives effectuées par des
objets volants non identifiés pour abattre ou détruire aussi des avions de
combats que des avions civils et dont certaines ont abouti à une sorte de
combat aérien (dogfight) dont le résultat est toujours la destruction ou la
disparition définitive de l’aéronef. Le rapport va plus loin à ce sujet en
soulignant que c’est l’une des principales causes de la perte de très nombreux
appareils militaires et civils à travers le monde.
Ceci n’est point les élucubrations
quelconques à l’emporte-pièce de passionnés amateurs mais une partie d’un
rapport officiel de très haut niveau émis par un organisme officiel qui énumère
une série d’incidents aériens non élucidés jusqu’en avril 2010.
Une autre tactique utilisée par les
objets volants non identifiés est de forcer l’aéronef à effectuer un
atterrissage d’urgence en lui emportant une infime partie de sa structure, en
« flashant » l’avionique embarquée et les sens du piloteou encore en
endommageant le ou les réacteurs de l’appareil. A cet égard, l’un des pilotes
les plus expérimentés de l’IRIAF (acronyme pour les forces aériennes
iraniennes) se rappelle d’une mission de routine lorsque il fut surpris par un
ovni à la sortie d’un nuage qui tentait de lui faire perdre le contrôle de
l’appareil, un MacDonnell Douglas F-4 Phantom II, mais le pilote tenta de se
désengager sans l’aide de l’instrumentation en psalmodiant à haute voix des
versets du Coran (le Livre sacré des musulmans). A ce moment l’Ovni lui arracha
une partie des volets de l’aile gauche avant de disparaître définitivement,
forçant le pilote à atterrir en urgence sur une piste de l’aéroport civil de
Bandar Abbas. Un autre F-4 Phantom II fut détruit en rencontrant un objet
volant non identifié dans le centre du pays.
Des MacDonnell Douglas F-4 Phantom II des forces aériennes iraniennes en
formation au-dessus du Golfe
Enfin une autre tactique aurait été
observée surtout depuis les années 2004-2005. C’est celle d’objets volants non
identifiés qui « réagissaient » ou « ripostaient »
violemment à toute tentative humaine d’interception. C’est arrivé quand un OVNI
s’est retrouvé encerclé par une escadrille de chasseurs. A un certain moment le
halo gazeux entourant l’objet se transforma en une source de chaleur si intense
que les chasseurs avaient du s’en écarter de plusieurs kilomètres. L’ovni
transmit soudainement une onde de choc semblable à celle produite par une
explosion puis une pulsion électromagnétique qui endommagea toute
l’électronique embarquée. Un instant plus tard l’objet volant non identifié
reprenait sa forme initiale et changeait très violemment de trajectoire.
Un F-14 iranien modifié doté d’un radar et de missiles fabriqués en Iran
tirant un missile AAM
Lors d’un prochain billet nous
aborderons un autre volet consacré à ce sujet qui doit impérativement sortir de
l’ombre à la lumière car il demeure totalement incompréhensible que la
quasi-totalité des forces aériennes au monde aient des rapports fournis à ce
sujet sans que l’on puisse l’analyser à froid et déterminer si oui ou non il y
a eu une véritable conspiration du silence entourant cet aspect de la réalité pour
des considérations idéologiques ou autres liées au pouvoir ou plus
prosaïquement au diktat de ce que l’on appelle la science officielle.
2/ L’aviation iranienne a mené une étude approfondie sur les OVNIS ayant survolé les centres de recherches et les sites nucléaires iraniens entre 2008 et 2010
Le commandement militaire iranien a longtemps soupçonné que les objets volants non identifiés survolant certains sites sensibles, notamment les sites de recherche et de développement de missiles et les sites nucléaires, étaient des drones de reconnaissance secrets mais une étude approfondie sur le sujet menée par une commission des forces aériennes iraniennes datée d’avril 2010 est parvenue à des conclusion fort étranges.
Ce
sujet est très important dans la mesure où des Ovnis continuent de survoler
exclusivement des centrales nucléaires et des sites de recherches en Eurasie et
en Amérique.
De
prime abord, l’étude entame son enquête par une piste liant les OVNIS à des
drones secrets US dans le cadre des opérations d’espionnage Elint et SIGINT que
les États-Unis mènent en Iran depuis plus de trois décennies mais le témoignage
professionnel des pilotes de chasseurs Grumann F-14 « Tomcat »
iraniens ayant tenté d’intercepter ces OVNIs mettent fortement en doute cette
possibilité.
Le F-14 fut l’avion de combat principal du film Top Gun (film américain réalisé en 1986 par Tony Scott, avec Tom Cruise, Val Kilmer et Kelly McGillis) que la critique la plus pertinente considère comme un film de propagande ayant boosté le recrutement dans l’aéronavale US quatre ans avant le déploiement massif de forces US en péninsule arabique et la seconde guerre du Golfe.
Les forces aériennes iraniennes sont les
seules au monde à utiliser le chasseur Grumann F-14 Tomcat de fabrication US.
L’US Air Force a retiré cet avion de combat iconique en 2006.
En page 302 du rapport, un pilote d’un
chasseur Grumann F-14 Tomcat iranien décrit un objet volant non identifié
volant au dessus de la centrale nucléaire d’Arak à près de Mach 7 (sept fois la
vitesse du son au niveau de la mer) et donc impossible à intercepter ou à
atteindre par des missiles. Un observateur du Groupe de défense aérienne d’Arak
rapporte avoir vu cinq Ovnis différents ayant une vélocité très élevée que des
gens locaux au sol ont également observés.
Un
autre pilote à l’avant d’un F-14 (le F-14 est biplace) témoigne que c’est la
première fois qu’il rencontre un tel objet dont il estime la vitesse à…Mach 10
! Ou 10 fois la vitesse du son dans l’air ! Il précise que cet objet était
entouré d’un halo lumineux similaire à celui d’un moteur à post-combustion. Le
pilote souligne que cet objet devait utiliser des ondes électromagnétiques pour
brouiller ou mettre hors service le radar et toute l’avionique embarquée.
Ce
qui est étonnant est que lors d’une tentative d’interception, des avions de
combat iraniens ont tiré des missiles Air-Air sur deux Ovnis qui ont changé de
forme et de volumes. Les pilotes de chasse iraniens désignent ce phénomène sous
le terme de « zooming ». La plupart des pilotes ayant pris en chasse des Ovnis
évoquent une disparition subite de l’objet pris en chasse ou une accélération
sidérante (passage de Mach 0.8 à Mach 7 en quelques secondes !). Un autre
témoignage émanant de deux pilotes expérimentés ayant tous les deux une
expérience du combat aérien lors de la guerre Iran-Irak rapportent qu’ils
avaient été menacés de destruction par un ovni sur lequel ils avaient ouvert le
feu. Enfin sept autres pilotes ont rapporté la perte de tout signal radio et
électrique et deux une défaillance généralisée des systèmes de commandes de vol
hydrauliques et électriques ayant causé des crashs lors du passage d’ovnis près
des chasseurs. L’un des rapports les plus étranges évoque la prise de contrôle
de l’appareil et son atterrissage sans l’intervention du pilote ou des
instruments à bord.
Beaucoup de pilotes iraniens croyaient que ces ovnis étaient des drones ultra-secrets US et des analystes iraniens n’ont pas manqué de faire le lien entre les apparitions rapportés par les pilotes de l’armée de l’air et le dispositif de la défense aérienne et la multiplication de telles apparitions au-dessus de l’Irak à la veille de l’invasion US de ce pays en mars 2003. Des manifestations similaires auraient été détectées par les forces armées iraniennes au-dessus de la partie occidentale de l’Afghanistan juste avant l’intervention US. Cependant cet avis n’a jamais fait l’unanimité. Dans une directive spéciale traitant des règles d’engagement avec de telles objets volants non identifiés, le commandement de la défense aérienne recommande aux pilotes d’éviter l’ouverture du feu afin d’éviter la destruction des avions militaires et « de très grandes pertes civiles au sol » ; dans une autre directive, il est spécifié que les missiles Sol-Air et Air-Air utilisés contre ces objets lumineux se sont avérés totalement inutiles en raison de la vélocité subite de l’objet ciblé, laquelle dépasse de loin la vitesse des missiles en dotation au sein des forces armées iraniennes. Le rapport souligne enfin que les rapports des pilotes ayant été confrontés à de tels phénomènes offre des similitudes avec ceux de pilotes militaires de pays « amis ».
3/ L’armée iranienne n’a pas réussi à abattre un OVNI
L’armée iranienne a
été filmée en train de tirer sur un objet mystérieux se déplaçant « avec une
technologie extraterrestre », ont affirmé des ufologues.
Dans cette étonnante
vidéo, on peut voir de l’artillerie antiaérienne tirant une multitude de balles
sur un objet brillant dans le ciel.
L’engin semble en
quelque sorte éviter tous les coups tirés en se déplaçant à des vitesses
incroyables et en effectuant des manœuvres normalement impossibles.
Lorsque la caméra
zoome sur cet engin, on remarque qu’il semble avoir la forme d’un boomerang.
Il a été filmé le 8
septembre 2019 près de la ville de Saravan dans le sud-est du pays.
L’utilisateur de
Twitter @khaamenei_ir l’a posté en ligne et a prétendu que l’objet était un «
drone de reconnaissance américain ».
Mais la vidéo a
depuis fait des vagues sur Internet – beaucoup prétendant que les manœuvres
remarquables de l’objet signifient que ce n’était pas un avion conventionnel.
DiscloseTV, un
théoricien populaire sur YouTube, a déclaré : « L’armée pense que c’est un
drone espion, mais comme cet avion est si rapide, s’arrête subitement dans les
airs, tourne instantanément et accélère immédiatement jusqu’à atteindre des
vitesses incroyables. Il est plus probable qu’il soit équipé de technologies
extraterrestres que terrestres ou étrangères. »
Cyrus Shares, qui se
décrit comme un entrepreneur et un défenseur de longue date du « changement de
régime en Iran », a tweeté : « Il semble que le Corps des Gardiens de la
révolution islamique ait tenté d’abattre un OVNI qu’il pensait être un drone
américain. »
« Cette chose brille
de mille feux et se déplace si rapidement qu’il doit s’agir d’une technologie
classifiée par les États-Unis et Israël qui s’est rendu intentionnellement
visible pour divertir la population. »
De nombreux autres
ont accepté cette théorie. L’un d’eux a dit : « Un drone ne résisterait pas à
ces coups de feu pendant cinq secondes ».
Un autre a ajouté : «
C’est véritablement un OVNI. Un drone ne brille pas comme ça. »
Mais un troisième
s’est montré plus sceptique : « C’est un hologramme projeté depuis un
satellite. »
Les tensions entre
l’Iran et les États-Unis se sont estompées au cours des derniers mois après la
saisie de plusieurs pétroliers par l’armée iranienne dans la région.
Les tensions ont
semblé atteindre un point d’ébullition il y a peu lorsque des responsables
américains ont affirmé que des missiles qui avaient touché des champs
pétrolifère en Arabie saoudite provenaient de l’Iran.
OVNI, une affaire d’États
Le nouveau documentaire "OVNI, une affaire d’États" de Dominique Filhol questionne le monde scientifique et politique sur l’existence d’objets volants non identifiés. Faut-il croire aux objets spatiaux non identifiés ? Des témoignages de scientifiques, militaires, politiques, chercheurs se succèdent, s’accordant sur le fait que l’homme doit reconnaître qu’il y a des choses qui lui échappent, et prendre en compte le fait qu’elles existent. Ce documentaire remarquable nous emmène dans un voyage dans l’espace accompagnés par des experts qui prennent le sujet à bras-le-corps. Passionnant ! L’armée iranienne a été filmée en train de tirer sur un objet mystérieux se déplaçant « avec une technologie extraterrestre », ont affirmé des ufologues.
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