UN MÉDECIN TOP FAIT LE RÉCIT DUNE MALADIE RARE PROVOQUÉE PAR LE VACCIN
par Mike Whitney.
« Les Américains ont peur de mourir… Les gens quittent leur travail,
non pas parce qu’ils veulent perdre leur emploi, mais parce qu’ils ne veulent
pas mourir à cause du vaccin ! … Ils disent : “Écoutez, je ne veux pas mourir.
C’est la raison pour laquelle je ne prends pas le vaccin”. C’est aussi clair
que cela » ~ Dr Peter McCullough
*
Un rapport du Telegraph britannique explique comment le vaccin
contre le Covid-19 a entraîné une forte augmentation de la surmortalité. Voici
un extrait de l’article :
« Près de 10 000 personnes de plus que d’habitude sont mortes au
cours des quatre derniers mois pour des raisons autres que le vaccin
anti-Covid, alors que les experts ont demandé une enquête gouvernementale
urgente pour savoir si ces décès étaient évitables…
Les
derniers chiffres du Bureau des Statistiques nationales du Royaume‑Uni montrent
que l’Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré 20 823 décès de plus
que la moyenne des cinq dernières années au cours des 18 dernières semaines.
Seuls 11 531 décès concernaient le Covid »1.
La mortalité augmente parce que plus de
gens meurent. Et plus de gens meurent parce que plus de gens ont été vaccinés.
Il y a un lien entre l’augmentation de la mortalité et le vaccin contre le
Covid-19. Naturellement, les médias veulent rejeter la responsabilité des décès
sur les « retards de traitement » et « l’absence de soins
préventifs ». Mais il ne s’agit que d’une diversion. La première cause de
décès est l’injection d’un agent pathogène toxique dans le sang sur environ 70%
de la population. C’est ce qui provoque la coagulation, les saignements, les
embolies pulmonaires, les crises cardiaques, les accidents vasculaires
cérébraux et les décès prématurés. C’est le vaccin.
« Les chiffres hebdomadaires pour la semaine se terminant le 5
novembre montrent qu’il y a eu 1659 décès de plus que ce que l’on attendrait
normalement à cette période de l’année. Parmi ceux-ci, 700 n’ont pas été causés
par le Covid.
L’excédent
devrait s’accroître au fur et à mesure que d’autres décès seront enregistrés
dans les semaines à venir.
Les
données de l’Agence britannique de Sécurité sanitaire montrent que, depuis
l’été, il y a eu des milliers de décès de plus que la moyenne quinquennale en
matière d’insuffisance cardiaque, de maladies cardiaques, de troubles
circulatoires et de diabète.
Le
nombre de décès chez des particuliers est également supérieur de 40,9% à la
moyenne sur cinq ans, avec 964 décès excédentaires enregistrés au cours de la
semaine la plus récente, qui s’achève le 5 novembre »[1].
L’augmentation soudaine de la mortalité
n’est pas un simple spot sur le radar. C’est un drapeau rouge indiquant une
rupture significative dans la tendance des cinq dernières années. Quelque chose
a terriblement mal tourné. La vaccination de masse était censée réduire le
nombre de cas, d’hospitalisations et de décès. Au lieu de cela, les décès
continuent d’augmenter.
Pourquoi ?
La réponse à cette question se trouve
dans les données elles-mêmes. Comme l’admet l’auteur, il y a eu une forte
augmentation des cas d’insuffisance cardiaque, de maladies cardiaques, de
troubles circulatoires et d’accidents vasculaires cérébraux. (Ce sont
précisément les affections auxquelles on pourrait s’attendre si l’on venait
d’injecter à des millions de personnes un produit biologique générateur de
caillots qui déclenche une violente réponse immunitaire attaquant la paroi
interne des vaisseaux sanguins et infligeant de graves dommages à
l’infrastructure critique du corps. Donc, oui, la mortalité toutes causes
confondues est en hausse, et il est certain qu’elle va encore augmenter à
mesure que de plus en plus de personnes sont vaccinées et succombent
progressivement aux effets (souvent) différés d’une concoction hybride qui est
la pierre angulaire d’un plan maléfique visant à réduire considérablement la
population mondiale. Consultez ce tableau suivi d’un bref commentaire du Dr
Claire Craig, pathologiste :
« Depuis l’été, il y a eu deux fois plus de décès que ceux dus au
Covid, mais sept fois plus de décès en excès que l’année dernière ».
Et voici un autre article de Craig :
« Si vous commencez à la semaine 22 et que vous additionnez tous les
décès depuis pour chaque année, alors quelque chose de très anormal se produit
cette année chez les hommes de 15 à 19 ans ».
Ainsi, non seulement plus de personnes
meurent, mais la démographie s’est déplacée vers le bas, car des personnes de
plus en plus jeunes sont attirées dans le vortex des vaccins. En d’autres
termes, le nombre de jeunes gens qui meurent d’un arrêt cardiaque ou d’une
myocardite provoqués par un vaccin continue d’augmenter sans qu’on puisse en
voir la fin.
Il n’est pas surprenant que la
mortalité, toutes causes confondues, soit plus élevée chez les vaccinés que
chez les non-vaccinés, ce qui, une fois de plus, permet de remonter à la source
du problème, à savoir un « vaccin mortel » cytotoxique qui supprime le
système immunitaire inné, endommage les organes vitaux et réduit de plusieurs
années la vie de personnes normales et en bonne santé.
Vous avez peut-être vu l’une des
nombreuses vidéos de jeunes athlètes en pleine forme qui sont soudainement
morts sur le terrain de jeu ou ont été hospitalisés d’urgence peu après avoir
reçu une injection.
Selon Israeli Real-Time News, il y a eu une « augmentation de 500% des décès de joueurs en 2021… Depuis
décembre, 183 athlètes et entraîneurs professionnels se sont soudainement effondrés
! 108 d’entre eux sont morts ! »
« Augmentation de 500% des
décès » d’athlètes ? !? Que devons-nous penser de tout cela ?
Pour commencer, le vaccin contre le
Covid-19 n’est pas un médicament. Il est le composant essentiel du plan
élitiste d’extermination à l’échelle industrielle. Il est conçu pour infliger
des blessures physiques graves aux personnes qui le prennent. Il est choquant
que les gens soient si profondément dans le déni qu’ils ne peuvent pas voir ce
qui se passe sous leurs yeux. (Pour l’exemple des athlètes, ce sont les
personnes les plus en forme de la planète et, pourtant, elles sont terrassées
par la mystérieuse substance contenue dans le vaccin). Voici comment le médecin
sud-africain Shankara Chetty résume la situation dans une vidéo récente publiée
sur Bitchute :
« L’agent pathogène qui cause tous les décès dus à la maladie est la
protéine spike. Et la protéine spike est ce que le vaccin est censé produire
dans votre corps. … La protéine spike est l’un des poisons les plus artificiels
que l’homme ait jamais fabriqués. Et, le but de cette toxine, est de tuer des
milliards de personnes sans que personne ne s’en aperçoive. C’est donc un
poison qui a un but précis »2.
Voilà en quelques mots. Et Chetty n’est
pas le seul à lier le vaccin au programme des élites mondialistes qui prévoient
d’utiliser la couverture d’une pandémie pour mettre en œuvre leur plan de
« gestion de la population ». L’ancien vice-président de Pfizer, Mike
Yeadon, a exprimé un point de vue similaire il y a quelques jours sur son site
Internet. Il a déclaré :
« Nous sommes au milieu du plus grand programme de dépeuplement que
le monde ait jamais vu, où la majeure partie de l’humanité agit comme des idiots
utiles à ce programme et à sa propre disparition ».
En effet, et nous avons essayé de
fournir autant d’informations que possible sur l’agent biologique qui est
utilisé pour poursuivre ce programme maléfique, la protéine spike. Dans nos
premiers rapports, nous avons transmis les recherches du Dr Patrick Whelan, qui
a compris le danger de la protéine spike avant tout le monde. Voici un bref
résumé de son analyse tirée d’une lettre qu’il a soumise à la FDA le 8 décembre
2020 :
« Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins
visant à créer une immunité contre la protéine spike du SRAS-CoV-2 aient le
potentiel de causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie
et aux reins d’une manière qui ne semble pas actuellement être évaluée dans les
essais de sécurité de ces médicaments potentiels.
…
Meinhardt et al… montrent que la protéine spike dans les cellules endothéliales
du cerveau est associée à la formation de microthrombi (caillots)… En d’autres
termes, les protéines virales semblent causer des dommages aux tissus sans que
le virus ne se réplique activement… Le vaccin Pfizer/BioNTech (BNT162b2) est
composé d’un ARNm qui produit une protéine spike complète ancrée dans la
membrane. Les études sur la souris suggèrent qu’une forme non tronquée de la
protéine S1 comme celle-ci peut provoquer une microvasculopathie dans les
tissus qui expriment beaucoup le récepteur ACE2.
… il
semble que la protéine virale spike… soit également l’un des principaux agents
responsables des dommages causés aux organes distants qui peuvent inclure le
cerveau, le cœur, les poumons et les reins. Avant que l’un de ces vaccins ne
soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important
d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur…
Aussi important qu’il soit d’arrêter rapidement la propagation du virus en
immunisant la population, il serait bien pire que des centaines de millions de
personnes subissent des dommages durables, voire permanents, à la microvasculature
de leur cerveau ou de leur cœur, parce qu’on n’a pas su apprécier à court terme
un effet involontaire des vaccins à base de protéine spike sur ces autres
organes »3.
Dès le début, les
régulateurs gouvernementaux et leurs alliés de l’establishment de la santé
publique ont ignoré (ou censuré) les avertissements de médecins et de
chercheurs compétents. Ils ont également ignoré le Dr Byram Bridle,
immunologiste et vaccinologue de carrière, qui a été le premier de sa
profession à identifier la protéine spike comme « un agent causal spécifique de la maladie »,
autrement dit « un agent pathogène ». Voici ce que dit Bridle :
« Nous savons depuis longtemps que la protéine spike est pathogène…
C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps si elle est en
circulation. Maintenant, nous avons des preuves claires et nettes que… le
vaccin lui-même, plus la protéine, passe dans la circulation sanguine.
Une
fois que cela se produit, la protéine spike peut se combiner avec les
récepteurs des plaquettes sanguines et avec les cellules qui tapissent nos
vaisseaux sanguins. C’est pourquoi, paradoxalement, elle peut provoquer à la
fois la coagulation du sang et des saignements. Et bien sûr, le cœur est
impliqué, en tant que partie du système cardiovasculaire… C’est pourquoi nous
voyons des problèmes cardiaques. La protéine peut également traverser la
barrière hémato-encéphalique et causer des dommages neurologiques…
En
bref, … nous avons fait une grosse erreur. Nous ne l’avions pas réalisé jusqu’à
présent. Nous ne nous sommes pas rendu compte qu’en vaccinant les gens, nous
leur inoculons par inadvertance une toxine »4…
Ici encore, nous avons un immunologiste
très respecté, avec plus de trois décennies d’expérience à son actif, qui a
offert ses recherches éclairées et fondées sur des preuves sur une question qui
aurait dû être d’un grand intérêt pour les régulateurs qui prenaient des
décisions sur la sécurité à long terme du médicament expérimental qu’ils
imposaient à des millions de personnes à travers le pays. Mais il n’y a pas eu
d’intérêt du tout. Malgré le fait que la science soutenait ses conclusions,
Bridle a été vicieusement attaqué, censuré, traîné dans la boue et forcé de
quitter son lieu de travail.
Pourquoi ?
Parce qu’il a tiré les mêmes conclusions
que le Dr Patrick Whelan. Il n’y a pas vraiment de différence de fond entre les
deux, si ce n’est que les commentaires de Bridle ont attiré davantage
l’attention des médias, ce qui a fait de lui une plus grande menace pour la
stratégie de « vaccination universelle ». C’est là son véritable
crime : il a découvert la vérité et mis ses conclusions à la disposition du
public, l’avertissant ainsi des dangers de la « piqûre mortelle ».
Pour cela, il a été écrasé.
Depuis, Bridle a fait d’autres
déclarations qui devraient inquiéter toute personne dont le cancer est en
rémission. Voici ce qu’il a dit lors d’une récente interview :
« Ce que j’ai vu beaucoup trop souvent, ce sont des personnes dont
le cancer était en rémission ou bien contrôlé, et dont le cancer est devenu
complètement incontrôlable après avoir reçu ce vaccin. Et nous savons que le vaccin
provoque une baisse du nombre de lymphocytes T, et ces lymphocytes T font
partie de notre système immunitaire et font partie des armes essentielles dont
dispose notre système immunitaire pour combattre les cellules cancéreuses ; il
y a donc là un mécanisme potentiel. Tout ce que je peux dire, c’est que trop de
personnes m’ont contacté avec ces rapports pour que je me sente à l’aise. Je
dirais qu’il s’agit là de ma plus récente préoccupation en matière de sécurité,
et c’est aussi celle qui sera la moins signalée dans la base de données des
effets indésirables, parce que si quelqu’un a eu un cancer avant le vaccin, les
responsables de la santé publique ne feront jamais le lien avec le vaccin »5.
Donc, le vaccin détruit le système
immunitaire ?
Oui, c’est le cas, et
l’auteur Alex Berenson en a apporté la preuve tout récemment dans un article
qu’il a publié sur Substack. En voici
un extrait :
« … le gouvernement britannique… a admis aujourd’hui, dans son dernier
rapport de surveillance des vaccins, que :
“Les
niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui
contractent l’infection après deux doses de vaccination”. (Page 23)
Qu’est-ce
que cela signifie ?…
Ce que
disent les Britanniques, c’est qu’ils découvrent maintenant que le vaccin
interfère avec la capacité innée de votre corps, après l’infection, à produire
des anticorps contre non seulement la protéine spike mais aussi d’autres
parties du virus…
Cela
signifie que les personnes vaccinées seront beaucoup plus vulnérables aux
mutations de la protéine spike MÊME APRÈS AVOIR ÉTÉ INFECTÉES ET AVOIR RECOUVRÉ
UNE FOIS…
… c’est
probablement une preuve supplémentaire que les vaccins peuvent interférer avec
le développement d’une immunité robuste à long terme après l’infection »6.
Les observations de Berenson concordent
avec les recherches compilées plus tôt dans l’année par des scientifiques des
Pays-Bas et d’Allemagne qui :
« … avertissent que le … vaccin induit une reprogrammation complexe
des réponses immunitaires innées qui devrait être prise en compte dans le
développement et l’utilisation de vaccins à base d’ARNm… l’équipe de recherche
du Radboud University Medical Center et de l’Erasmus MC aux Pays-Bas… a montré
que le vaccin modifiait la production de cytokines inflammatoires par les
cellules immunitaires innées après stimulation par des stimuli spécifiques
(SRAS-CoV-2) et non spécifiques.
Après
la vaccination, les cellules de l’immunité innée présentaient une réponse
réduite aux récepteurs TLR4 (toll-like receptor 4), TLR7 et TLR8 – tous des
ligands qui jouent un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections
virales… un domaine encore inexploré est de savoir si la vaccination par
BNT162b2 a des effets à long terme sur les réponses immunitaires innées …
“Cela
pourrait être très pertinent dans le cas du COVID-19, dans lequel une
inflammation déréglée joue un rôle important dans la pathogenèse et la gravité
de la maladie”, écrit l’équipe. “De multiples études ont montré que les
réponses immunitaires innées à long terme peuvent être soit augmentées
(immunité entraînée), soit régulées à la baisse (tolérance immunitaire innée)
après certains vaccins ou infections »7.
Les conclusions de
Berenson s’alignent également sur des recherches de pointe montrant que la
protéine spike « entrave considérablement l’immunité adaptative »
en empêchant l’ADN de réparer les cellules endommagées. L’article suggère que
la protéine spike a en fait « un impact sur le noyau de la
cellule, où nous stockons notre ADN, notre matériel génétique de base ».
Voici un extrait de l’analyse de l’article par Berenson :
« …. nos cellules ont des mécanismes pour réparer leur propre ADN.
Mais –
du moins dans les expériences menées par ces deux scientifiques – la protéine
spike semble interférer avec nos propres protéines de réparation de l’ADN : “D’un
point de vue mécanique, nous avons découvert que la protéine spike se localise
dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le
recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN, BRCA1 et 53BP1, sur le
site des lésions”.
Pour
être clair, les scientifiques n’ont PAS prouvé que la protéine spike causait
ces problèmes chez l’homme, ni même chez l’animal… Néanmoins, à l’heure où les
pays avancés qui ont des taux élevés de vaccination par ARNm (et ADN/AAV)
voient des hôpitaux exceptionnellement pleins et des taux de mortalité
supérieurs à la normale, ils constituent une cause supplémentaire d’inquiétude.
Comme l’expliquent les auteurs :
“Nos
résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine
spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets
secondaires potentiels des vaccins à base de spike” »8.
Conclusion : Si le vaccin inhibe
effectivement la réponse immunitaire innée de l’organisme, les gens seront
beaucoup plus malades à cause des infections saisonnières qui se propagent
régulièrement dans la population. Leur chemin vers la guérison sera également
beaucoup plus difficile.
Mais plutôt que
d’insister sur l’aspect immunitaire, passons aux recherches du Dr Charles
Hoffe, qui a été le premier médecin à fournir des preuves tangibles que les
vaccins provoquent la formation de caillots sanguins en déclenchant une réponse
immunitaire dans laquelle l’organisme attaque la fine couche de cellules qui
tapisse les parois des vaisseaux sanguins. Hoffe a constaté que 62% de ses
patients vaccinés présentaient des caillots sanguins lors du test de D-dimères.
Naturellement, il a été alarmé par ce qu’il a découvert, d’autant plus que le
vaccin « provoquait de graves troubles neurologiques, voire la mort ».
Lorsqu’il a fait part de ses inquiétudes au BC College of Physicians, celui-ci
a immédiatement imposé un bâillon et l’a réprimandé dans le but de l’intimider
et de le réduire au silence.
Hoffe a été interviewé à plusieurs
reprises et fournit toujours un compte rendu détaillé et passionnant de ses
découvertes. Lors d’une récente interview, il a prédit que certains vaccinés
souffrant de problèmes de coagulation mourraient probablement en trois ans
seulement. Voici ce qu’il a dit :
« … une fois que vous bloquez un nombre important de vaisseaux
sanguins vers vos poumons, votre cœur doit pomper à une résistance beaucoup
plus grande pour faire passer le sang dans vos poumons. Cela provoque une
condition appelée hypertension artérielle pulmonaire, qui est une pression
sanguine élevée dans vos poumons parce que de nombreux vaisseaux sanguins dans
vos poumons sont bloqués. Ce qui est terrifiant, c’est que les personnes
souffrant d’hypertension artérielle pulmonaire meurent généralement d’une
insuffisance cardiaque droite au bout de trois ans… Et non seulement les
perspectives à long terme sont très sombres, mais à chaque injection
successive, les dommages s’ajoutent, s’ajoutent et s’ajoutent. Ce sera
cumulatif parce que les capillaires seront de plus en plus endommagés »9.
Une fois de plus, il n’y a aucune
divergence entre les analyses de Whelan, Bridle et Hoffe. Et si l’objet de leur
attention peut varier légèrement, leurs conclusions sont les mêmes. Ces
injections expérimentales présentent des risques sérieux pour quiconque se
laisse inoculer.
Maintenant, regardez à quel point
l’analyse d’Hoffe est similaire à celle du Dr Rochagne Kilian, qui était
médecin aux urgences de l’hôpital GBHS jusqu’à ce qu’elle démissionne en signe
de protestation. Cette vidéo est particulièrement importante, car elle décrit
les symptômes « bizarres » et les affections extrêmement rares qui se
présentent maintenant dans les salles d’urgence du monde entier à la suite de
la vaccination massive de millions de personnes avec le « vaccin
mortel ». (J’ai transcrit la vidéo moi-même, il peut donc y avoir des
erreurs).
Ce que j’ai vu dans mon service
d’urgence, surtout au cours des 8 à 9 derniers mois, est lié aux taux de
D-Dimères. Nous utilisons les D-Dimères spécifiquement liés aux embolies
pulmonaires ainsi qu’aux thromboses veineuses profondes. Les D-Dimères
détectent toute thrombose (caillots) dans le corps, mais ils ne donnent pas de
diagnostic. Ils vous donnent une base pour aller plus loin et faire une
échographie et un scanner pour confirmer ou infirmer la présence d’une embolie
pulmonaire ou d’une thrombose veineuse profonde.
La première partie de l’année 2020 a
probablement été la plus lente jamais enregistrée dans le service des urgences,
mais lorsque nous sommes entrés dans l’année 2021 et que le déploiement de la
vaccination a commencé, nous avons constaté une augmentation du nombre
d’accidents vasculaires cérébraux, d’accidents ischémiques transitoires et de
cas similaires. (Il y avait) certainement un nombre beaucoup plus important de
ces personnes qui arrivaient. J’ai fini par faire des tests de D-dimères sur
ces personnes et jamais auparavant, dans mon expérience clinique, je n’avais vu
des D-dimères et un nombre de personnes avec des D-dimères positifs supérieur à
2000, supérieur à 3000 et supérieur à 5000. Mon expérience clinique me disait
qu’il fallait rechercher un gros caillot dans les jambes ou les poumons. Et
j’ai fini par faire un scanner sur ces personnes. La plupart d’entre eux, et je
dirais même presque tous, ont eu des scans négatifs, ce qui m’a fait penser que
s’il n’y avait pas de caillot important dans leurs poumons, le taux de
D-dimères était tellement plus élevé que ce que je voyais habituellement qu’il
se pouvait que le caillot ne soit pas concentré en un seul mais qu’il s’agisse
de multiples micro-caillots répartis dans tout le corps, et il est si facile de
passer à côté parce que le scanner ne va pas le détecter.
Les personnes qui sont venues aux
urgences étaient toutes des personnes qui avaient reçu leur deuxième injection
entre une semaine et quatre mois plus tard. Certains facteurs peuvent
influencer le test des D-dimères et vous donner l’impression que le taux est
plus élevé que ce qui est attendu dans l’organisme. Cela dit, les patients sur
lesquels j’ai effectué des tests de D-Dimères n’avaient pas un niveau positif
de 500 ou 400. C’était plus de 3500, plus de 5000 ng/ml. Ce sont donc des
résultats significativement positifs sans aucune preuve de la présence d’une
embolie pulmonaire. Si je voyais des taux élevés de D-dimères sans diagnostic
précis, je devais poser plus de questions.
Une étude a dit de ne jamais ignorer des
taux de D-dimères extrêmement élevés. Ils sont spécifiques d’une maladie grave,
notamment une thrombose veineuse, une septicémie et/ou un cancer. Même si un
taux de D-dimères très élevé est un résultat apparemment solitaire, il faut
maintenir la suspicion clinique d’une maladie sous-jacente grave.
Deux conditions se sont distinguées, la
première étant la coagulation intravasculaire disséminée, également connue sous
le nom de CIVD. La seconde est le syndrome des antiphospholipides. Ces deux
pathologies sont liées à une anomalie dans l’initiation ou la rétroaction de la
voie de la coagulation, ainsi qu’à la thrombose ou au cycle de la thrombose où
les caillots sont décomposés. La CIVD est une situation grave, parfois
mortelle, dans laquelle les protéines du sang impliquées dans la coagulation deviennent
hyperactives. Il s’agit d’une cascade qu’il est difficile d’arrêter une fois
qu’elle a atteint un certain niveau. Certaines conditions déclenchent la CIVD :
une septicémie importante, des virus sous-jacents, un traumatisme, une
chirurgie majeure, une grossesse et un accouchement. Et des causes moins
courantes : réaction à un médicament toxique, réaction à une transfusion
sanguine et transplantation d’organes. Il y avait donc un lien entre les
produits intravasculaires et une possible CIVD.
La plupart des cas de CIVD sont
diagnostiqués rapidement et soudainement, ce qui correspond à la présentation
aiguë. Mais il y a des cas où elle se développe progressivement, sur une plus
longue période de temps. C’est ce qu’on appelle une forme chronique de CIVD et
je dirais même une forme subaiguë de CIVD qui est très facile à manquer. La
CIVD chronique peut entraîner une coagulation et une hémorragie simultanées.
Les saignements se manifestent par la présence de sang dans les urines, des
maux de tête et d’autres symptômes associés aux hémorragies cérébrales, des
ecchymoses, une inflammation des rougeurs, des petits points sur les membres,
des saignements au niveau des plaies et des saignements des muqueuses,
c’est-à-dire des saignements des gencives et du nez. J’ai certainement constaté
une augmentation des saignements de nez et des saignements aux sites de
blessures antérieures, ulcères, ainsi que des éruptions cutanées inexplicables.
Les symptômes et les signes de coagulation du sang étaient des symptômes comme des
douleurs thoraciques, des crises cardiaques, des accidents vasculaires
cérébraux, des AIT et des maux de tête liés ou non à des saignements. Ainsi que
des symptômes liés à l’insuffisance rénale, en raison de la coagulation des
petits vaisseaux sanguins qui vont aux reins. Le syndrome des antiphosphlipides
est un type d’affection très similaire. Mais la base du syndrome des
antiphosphlipides est un trouble auto-immun, ce qui signifie que le système
immunitaire de l’organisme fabrique des protéines – appelées anticorps – qui
attaquent par erreur son propre corps ou ses propres tissus. Cela donne à la
peau l’effet en cascade du trouble de la coagulation, mais il est lié à un
déclencheur auto-immun. En fait, il se présentait exactement de la même manière
: hypertension artérielle, dont je voyais beaucoup de cas ; premier diagnostic
d’hypertension artérielle, crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux,
accidents cérébrovasculaires transitoires, problèmes de valves cardiaques, maux
de tête ou migraines répétés, perte de vision, problèmes d’équilibre et de
mobilité, difficultés à se concentrer ou à penser clairement.
L’auditeur avisé
commencerait à se faire une idée de ce qu’on nous a dit sur le Covid-19, et il
existe des articles de recherche reliant le Covid-19 à une maladie vasculaire
sous-jacente. L’un d’entre eux est une étude intitulée « Covid 19 ; dévoiler la progression clinique de l’arme biologique
quasi parfaite de la nature ».
Le SRAS-Cov-2, se présentant comme le
syndrome du Covid-19, n’était pas une base respiratoire, mais une base
vasculaire sous-jacente. qui avait certaines phases d’incubation, la phase
pulmonaire, la phase pro inflammatoire, (qui encore une fois entre dans un
processus d’inflammation cytotoxique) puis se déplace dans une phase
protothrombotique. La Covid-19 est une maladie thrombotique avec des
implications pour la prévention, la thérapie antithrombotique et le suivi…
Cette image nous montre certains
facteurs de risque, des anomalies homéostatiques, ainsi que des résultats cliniques.
Elle indique une augmentation du taux de D-dimères. Elle mentionne également la
thromboembolie veineuse, l’infarctus du myocarde et la coagulation
intravasculaire disséminée qui est liée à des mécanismes postulés de
coagulopathie ainsi qu’à la parthénogenèse de la thrombose dans le Covid-19…
J’ai commencé à poser la question
suivante : si nous sommes capables de détecter certaines connexions entre les
anomalies vasculaires et le Covid-19, et que nous avons basé le traitement
proposé sur la protéine spike, les injections de Pfizer et Moderna, ne
devrions-nous pas rechercher des effets secondaires ou des complications
similaires à partir de cette même injection ?
Si nous imposons
certains traitements, nous devons faire preuve de diligence raisonnable pour
nous assurer des effets secondaires et des complications, surtout à une époque
où il n’y a pas eu d’études à long terme. Et c’est ce qui m’a amené à me
concentrer sur les D-dimères »10.
La déclaration de Kilian doit être lue
et relue. C’est la description la plus détaillée que nous ayons des
machinations mystérieuses et profondément sinistres d’une arme biologique
fabriquée en laboratoire qui, en fait, retourne les systèmes vasculaire et immunitaire
contre la personne qui a été vaccinée. La coagulation intravasculaire
disséminée et le syndrome des antiphosphlipides sont des noms qui sont
totalement inconnus des Américains, et pourtant, ces conditions étranges sont
maintenant responsables d’un nombre croissant de patients qui souffrent de
saignements, de coagulation, de maux de tête, d’éruptions cutanées,
d’hématomes, d’hypertension et d’inflammation. Et, dans les cas les plus
extrêmes, des douleurs thoraciques, des crises cardiaques, des accidents
vasculaires cérébraux, des problèmes de valvules cardiaques et des hémorragies
cérébrales. On ne peut que deviner comment les médias vont tenter de dissimuler
ces affections extraordinairement rares et potentiellement mortelles ?
Quand Kilian demande :
« Si nous sommes capables de détecter certains liens entre les
anomalies vasculaires et le Covid-19… ne devrions-nous pas rechercher des
effets secondaires ou des complications similaires de cette même injection ? »
Bingo ! Si la protéine spike produite
par les vaccins inflige les mêmes dommages internes que le Covid-19, les
médecins ne devraient-ils pas s’attendre à voir les mêmes symptômes ?
Oui, ils devraient. Et si les symptômes
sont les mêmes, alors il y a de fortes chances que les blessures dues au vaccin
soient diagnostiquées à tort comme étant le Covid-19.
Pensez-y une minute. Ce serait le
scénario parfait pour les gestionnaires de la pandémie et leurs bailleurs de
fonds milliardaires qui aimeraient voir la montagne de carnage imminente
imputée au virus en déclin plutôt qu’à leur vaccin mortel.
Et c’est là tout le génie maléfique de
la stratégie mondialiste : effacer les empreintes digitales de l’arme du crime
avant même que les enquêteurs n’arrivent sur la scène du crime.
La planification de cette escroquerie est tout simplement époustouflante.
traduit par Réseau International
1. « L’alarme grandit alors que les morgues se remplissent de milliers de décès supplémentaires non liés au Covid », UK Telegraph
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