Dr Robert W. Malone contre la vaccination des enfants
Dr Robert W. Malone contre la vaccination
des enfants
16/12/2021
Déclaration du Dr Robert W. Malone 12/2021 (doublage Fr)
Déclaration du Dr Robert W. Malone 12/2021 (Anglais + Traduction)
Transcription de la
déclaration du Dr Malone :
Je m'appelle Robert
Malone. Je suis un médecin et scientifique, mais plus important encore, je suis
père et grand-père. Je n'ai pas l'habitude de lire un discours préparé, mais ce
sujet est si important que je voulais m'assurer que chaque mot et chaque fait
scientifique soient exacts.
Je m'en tiens à cette
déclaration, car j'ai consacré ma carrière à la recherche et au développement
de vaccins. Je suis vacciné contre le Covid et je suis généralement
pro-vaccination. J'ai consacré toute ma carrière au développement de moyens
sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses. Voilà mon
message :
Avant de faire
injecter votre enfant - une décision qui est irréversible - je voulais vous
faire connaître les faits scientifiques concernant ce vaccin génétique, qui est
basé sur la technologie du vaccin ARNm que j'ai créée.
Il y a trois points
essentiels que les parents doivent comprendre avant de prendre cette décision
irrévocable.
Le premier est qu'un
gène viral sera injecté dans les cellules de votre enfant. Ce gène oblige
l'organisme de votre enfant à fabriquer des protéines de pointe toxiques. Ces
protéines provoquent souvent des dommages permanents dans les organes critiques
des enfants. Ces organes comprennent leur cerveau et leur système nerveux, leur
cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris des caillots sanguins, le système
reproducteur. Et le plus important : ce vaccin peut déclencher des
changements fondamentaux dans leur système immunitaire.
Le point le plus alarmant à ce sujet est qu'une fois que ces dommages ont eu
lieu, ils sont irréparables. Ils ne peuvent pas être inversés. Vous ne pouvez
pas réparer les lésions à l'intérieur de leur cerveau. Vous ne pouvez pas
réparer les cicatrices du tissu cardiaque. Vous ne pouvez pas réparer un
système immunitaire génétiquement réinitialisé, et ce vaccin peut causer des
dommages du système reproducteur qui pourraient affecter les générations
futures de votre famille.
La deuxième chose que
vous devez savoir est le fait que cette nouvelle technologie n'a pas été testée
de manière adéquate. Nous avons besoin d'au moins 5 ans de tests et de
recherches avant que nous puissions réellement comprendre les risques associés
à cette nouvelle technologie. Les effets néfastes et les risques des nouveaux
médicaments sont souvent révélés des années plus tard seulement. Posez-vous
s’il vous plaît, en tant que parent, cette question : voulez-vous que
votre propre enfant fasse partie de l'expérience la plus radicale de l'histoire
de l'humanité ?
Un dernier point : la
raison qu'ils vous donnent pour vacciner votre enfant est un mensonge. Vos
enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou leurs
grands-parents. C'est en fait le contraire. Leur immunité, après avoir reçu le
Covid, est essentielle pour sauver votre famille, voire le monde, de cette
maladie.
Enfin, en résumé, il
n'y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les vacciner contre le
faible risque du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du vaccin
avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre
pour le reste de la vie.
L'analyse
bénéfice-risque n’est absolument pas favorable à ces vaccins s’agissant des
enfants. En tant que parent et grand-parent, je vous recommande vivement de
résister et de vous battre pour protéger vos enfants.
Nous l'avions déjà
reçu au cours d'un précédent
debriefing cet été durant lequel il a évoqué sa
carrière de scientifique, l’histoire de l’invention de cette technologie ARNm,
l’échec de la vaccination de masse, le risque associé à la vaccination, et les
traitements alternatifs contre le Covid-19.
Robert Malone, pionnier des vaccins ARNm: "je déclare que la protéine native Spike est toxique"
08/07/2021
Depuis la pandémie de
Sars-CoV2 et surtout depuis la mise en œuvre de la vaccination, le docteur
Robert Malone reçoit beaucoup de messages du monde entier venus de
scientifiques qui attirent son attention sur des phénomènes inquiétants que
provoquent les différentes thérapies vaccinales génétiques contre le virus.
Estimant qu’en tant qu’inventeur de la technologie de l’ARN messager, il a une
certaine responsabilité morale, il décide d’accepter de répondre à la presse,
aux médecins mais également aux patients victimes d’effets secondaires graves.
Dans la première
partie de cette vidéo, Robert Malone revient en détail sur sa carrière de
scientifique et sur l’histoire de l’invention de cette technologie de
l’ARN messager il y a 30 ans. Jeune diplômé, il travaille dans un
laboratoire qui s’intéresse aux rétrovirus chez les primates non-humains
entraînant un syndrome d’immunodéficience ce qui l’amène rapidement à
s’intéresser aux thérapies génique, pas seulement à l’ARN mais également à
l’utilisation de vecteur adénoviraux pour les vaccins.
Quelques années plus
tard, Malone travaille pour une start-up appelée Syntec avec son collègue
Philip Felgner. À cette époque, ses recherches se portent essentiellement sur
la recherche d’une technologie qui permettrait d’envoyer efficacement de l’ARN
dans les cellules mais également sur toute la technologie parallèle, notamment
la préparation de ces procédés à grande échelle, la synthèse et la purification
de l’ARN. Tandis que Syntec ne s’intéresse guère à leurs recherches, Philip
Felgner qui avait découvert les lipides cationiques, part travailler pour la
start up Vical. Peu de temps après, Robert Malone le rejoint et y poursuit ses
travaux. Il recommence à fabriquer de l’ARN. C’est à cette période que les deux
chercheurs injectent des polynucléotides dans les rongeurs et démontrent que
l’association de l’ARN et de l’ADN aux lipides cationique fonctionne.
Robert Malone revient
sur l’origine de sa démarche, sur sa volonté de fabriquer des vaccins sur la
base d’ADN et d’ARN et détaille longuement tous les procédés scientifiques en
racontant au passage les difficultés auxquelles il s’est heurté avant
l’invention des vaccins ADN en 1990.
Il explique
ensuite les blocages des brevets pendant 20 ans, négligés et
ignorés par le monde universitaire académique tandis qu’il avait signé des
accords l’interdisant de poursuivre ses travaux parce que tous les brevets
appartenaient à l’entreprise pour laquelle il avait travaillé. Par la suite,
les brevets ont été défendus par les laboratoires Vical et Merck, deux
laboratoires qui se sont octroyés des licences et attribués la paternité de
nombreuses découvertes. Cependant, si Vical détenait la propriété
intellectuelle, cette start-up n’avait ni les talents ni les capacités pour
progresser. Elle avait néanmoins la capacité de nuire et ses dirigeants ne s’en
sont pas privé, n’hésitant pas à bloquer cette recherche pendant 20 ans car
cela les arrangeait que personne ne puisse développer des produits à partir de
ce qui avait été trouvé.
Revenant sur les
vaccins ARN contre le cancer, il explique que l’immunologie et la biologie du
cancer sont des sujets extrêmement complexes et qu’il préfère travailler sur
les vaccins contre les maladies infectieuses, une chose qu’il considère moins
complexe, soulignant au passage que de grands laboratoires comme Novartis
malgré les moyens énormes mis en œuvre, n’avaient pas atteint leurs objectifs
dans le domaine de la cancérologie.
Concernant la pandémie
du Sars CoV-2 et des vaccins Moderna, Curevac ou BioNtech, Malone parle d’échec
de ces thérapie vaccinales contre le covid, échec qui ne serait pas selon
lui dû à la technologie mais qu’il attribue à la complexité du domaine
thérapeutique. Robert Malone affirme n’avoir aucun contact avec ces
laboratoires à l’exception de Katie Kariko, la vice-présidente de BioNtech à
qui il demande de ne pas s’attribuer l’invention de ce procédé.
Quelques temps après
la mise en œuvre de la vaccination en population générale, Malone est alerté
par un médecin canadien qui lui raconte les effets indésirables qu’il a vus
chez certains de ses patients et constate que les observations
rapportés par les médecins ont été balayées d’un revers de main par les
instances officielles qui censurent la paroles de ces soignants. Bouleversé
par le très grand nombre d’effets indésirables qui lui sont relatés, il décide
de sortir du silence et écrit un article sur ses
considérations bioéthiques au sujet de ces vaccins expérimentaux en se fondant
sur le Code de Nuremberg et le consensus en Occident par rapport à la recherche
clinique.
Il dialogue également
avec des patients vaccinés qui ont eu de graves effets indésirables et qui sont
contents de pouvoir trouver un homme de science à l’écoute tandis que l’ensemble
du monde scientifique qui affirme que ces vaccins sont parfaitement sûrs, reste
sourd à leurs douleurs.
Lorsqu’il revoit le
document Pfizer, Robert Malone s’étonne et s’inquiète de ce qu’il lit. Il
explique pourquoi il juge ce travail peu professionnel tandis qu’il découvre
que les études de biodistribution sont non conformes aux bonnes
pratiques de laboratoire puisqu’ils n’ont pas utilisé l’ARN codant
pour la Spike mais un ARN de luciférase. Mais cet aspect n’est qu’un des très
nombreux dysfonctionnements sur lesquels il revient, apportant des
explications détaillées sur chacun d’eux.
A propos de la
sécurité des vaccins, il déclare que ce n’est pas la technologie des
vaccins qui pose problème, mais la protéine native Spike qui est toxique.
Il regrette que le rapport bénéfice/risque n’ait pas été calculé pour chaque
catégorie de la population et demande des preuves et pas des opinions aux
différentes instances de régulations après avoir eu connaissance des
différentes toxicités notamment cardiaques.
Au sujet de l’immunité
collective, il conteste l’affirmation selon laquelle il faudrait vacciner
70% de la population, un chiffre qui ne signifie rien pour lui puisqu’il
n’existe pas de données concernant l’effet du vaccin sur la propagation du
virus, sa transmissibilité. Opposé à la vaccination obligatoire, il réaffirme
le principe fondamental de liberté et du droit des individus à décider
d’eux-mêmes s’ils veulent ou pas se faire vacciner.
Dans la dernière
partie, il se dit favorable au repositionnement de certains
médicaments connus dont l’Ivermectine, une molécule dont il pense qu’elle joue
plus un rôle d’anti-inflammatoire que d’antiviral.
Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org.
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Site du Dr Robert Malone
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